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CHAPITRE IX




L’Espoir



A l'heure à laquelle ces dernières lignes furent écrites, la guerre États-Unis/Irak était terminée depuis plusieurs mois, et un semblant de « démocratie » était mis en place dans ce pays, mais que pouvons-nous en faire ressortir ?

Par une démonstration de leur puissance militaire les États-Unis ont-ils obtenus l'effet escompté ? Le fanatisme a-t-il diminué ? Les rivalités se sont-elles estompées ? Le Dieu d'Amour en a-t-il été glorifié ?

Autant de questions auxquelles nous ne répondrons pas directement dans ces dernières pages, car nous risquerions d'en tirer des conclusions trop hâtives, aussi radicales que celles des philosophes que nous avons quelque peu observés.

Une chose est certaine, nous avons à déplorer que tous les peuples engagés dans ce conflit pleurent des morts qui n'ont pas toujours été plus fautifs que d'autres dans cette affaire. L'erreur de ces malheureux ne fut souvent que de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Seul l'intégrisme religieux, auteur de si nombreuses persécutions, en ressort vainqueur. En Irak et dans tous les pays voisins la radicalisation Islamique est montée de plusieurs tons, élevant bien évidemment sa haine envers le peuple de Dieu, Israël. Outre atlantique la présomption charnelle d’exterminateurs de « l’Axe du mal », ne fait qu’empirer. La France quant-à elle semble poursuivre son petit bonhomme de chemin avec tous ses conflits sociaux dans lesquels chacun revendique la meilleure part de gâteau.

Le problème actuel de notre structure n'est effectivement pas la structure elle-même, mais bien la façon dont nous l'employons, avec tout notre manque d'intégrité. C'est pourquoi cette forme d'entraide, si charitable en elle-même, a pu devenir un piège pour nous-mêmes, car s'adressant à des utilisateurs dont la logique est encore dépourvue d'un véritable épanouissement.

Nous pouvons donc nous rassurer, si personne d’entre nous n'est réellement bon, personne n'est réellement mauvais, et Dieu tient tout dans sa sûre main. Au jour de la crucifixion de Jésus et jusqu'à sa résurrection, l'ennemi crut avoir remporté la victoire et se réjouit. Aujourd'hui il croit pouvoir faire de même, en faisant semblant d'ignorer que Dieu a préparé un septième jour tant pour la France que pour les Etats-Unis et tant d’autres nations, mais surtout pour Israël. Les signes précurseurs en seront l’apparition de l’Esprit de Christ sur Israël, et sans doute les Français et les Américains commenceront-ils de comprendre alors que Dieu ne veut pas de discriminations entre nous. Nous pouvons y croire non pas en tant que prophétie, mais à cause de notre confiance en Dieu qui travaille aujourd'hui à établir le bon sens en l'homme.

Toutes les nations chrétiennes arrivent aujourd'hui à une forme d'impasse dans leurs débouchés politiques, car nous devons chacun prendre modèle de l'autre, afin d'arriver à l'équilibre. Les Français doivent se tourner vers Dieu, les Américains et les Anglais, doivent rechercher Dieu au travers d'une image plus proche d’un équilibre français. Dieu a déjà tout préparé d'avance pour nous tous, pourvu que chacun vienne à ce que Dieu a préparé pour lui !

Les bénédictions à venir sont certainement plus encourageantes, même si elles ne passeront pas sans une réelle volonté de chacun, et sans doute également par bien des récessions nécessaires pour les pays les plus riches. Au nom de quelle futilité Dieu préfèrerait-il un humain à un autre, un peuple à un autre, l’hémisphère nord à l’hémisphère sud, si chacun dans ses œuvres était identiquement en Jésus ?

(Matthieu 10.39) Celui qui conservera sa vie la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera.//

Que nous soyons hommes ou nation, Dieu ne peut être en reste avec nous. Celui qui acceptera de perdre ses attitudes charnelles, se verra béni par la paix dans son cœur, en conséquence directe des fruits du labeur auquel le Saint-Esprit de Dieu l'aura conduit. S'il n'y avait cependant que cette dimension, tels des psychothérapeutes universels, nous pourrions croire avoir annoncé ici toute la  « méthode » nécessaire à notre élévation vers Dieu.

Ce serait là une dimension humaine des plus prétentieuses, car se serait oublier la Grâce de Dieu qui veut nous bénir tous, au-delà de nos capacités à faire sa volonté. La véritable intelligence nous démontrera donc toujours, l'incontournable nécessité de nous attendre à la Grâce de Dieu pour nous-mêmes et pour notre nation, en tout temps, en tout lieu et en toute circonstance.

Depuis notre création, aucune amélioration sensible, n'est venue modifier notre construction psychologique, et nous composons selon nos possibilités actuelles. Notre mode archaïque de construction, est la source de toute la misère humaine, raison pour laquelle le « Retour de Jésus » sera la plus grande révolution n'ayant jamais eut lieu en faveur de l'humanité.

Chacun a donc envie de vivre le reste de ses jours et son éternité à ses côtés, mais n’était-ce pas déjà le cas du Riche, face au Pauvre Lazare qui se tenait dans le sein d’Abraham. L’abîme qui existe entre l’enfer et paradis, est identique à celui qui sépare le monde de la chair et celui du Saint-Esprit de Dieu, et nous n’y reviendrons plus. Un abîme identique sépare encore le monde d’aujourd’hui et celui de demain, c’est la venue de l’Antéchrist précédant le retour de Christ. (Apocalypse 12-9/10) Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Et j’entendis dans le ciel une voix forte qui disait: Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l’autorité de son Christ; car il a été précipité, l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit.//

Tout comme Christ prépare son règne, Satan se prépare à entraîner un maximum d’entre-nous dans sa chute. Si notre Espoir est donc à terme de gagner la guerre et d’appartenir au monde de demain, nous ne devons pas perdre de vue que la victoire sur la séduction qui précédera, doit être aujourd’hui notre premier objectif. Nous serions sinon à nous réjouir de la victoire sans nous préoccuper comment mener une éventuelle bataille.          

Comme nous l’avons remarqué au travers des sept Eglises de l’Apocalypse, nous n’aurons pas tous eu la même attitude, et certains de ceux qui seront aux côtés de Jésus auront toujours suivi leur petit bonhomme de chemin, loin des conflits religieux, tel Pons Pilate. Il ne s’agira pas pour autant de tièdes, car les tièdes se croient sauvés en Dieu par leurs œuvres. Non ! Ce seront des gens simples qui seront restés vrais et droits sans faire de bruit, comme s'ils ne connaissaient pas Jésus, mais qui seront entrés dans ses œuvres et non pas dans des discours vains.

Dans cet exemple, nous regardons en trop souvent le travail de Pons Pilate comme l'œuvre d'un lâche dans sa seule lâcheté, en oubliant que ce non juif prit position en faveur de Jésus sans s'en détourner. Simon Pierre, auquel Jésus dit à la Croix « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église », renia Jésus trois fois, mais ce païen ne le fit pas.

C'est pourquoi la bénédiction du retour de Jésus, ne viendra pas nécessairement du milieu depuis lequel nous l'attendons, et ne sera pas plus reconnue des milieux extrémistes religieux, que ne le fut Jésus lui-même, venu en tant que « Messie souffrant ». Le « monde », c'est-à-dire les hommes extérieurs aux systèmes religieux, le percevra éventuellement plus facilement que les autres. Une part d’entre eux saura faire la différence, tout comme Pilate sut faire la distinction entre l'attitude des principaux sacrificateurs qui étaient sensés représenter la loi Juive, et Jésus qu'il reconnut publiquement Roi des Juifs par ses écrits. (Jean 19-17/22) Jésus, portant sa croix, sortit de la ville vers le lieu appelé : le Crâne, qui se dit en hébreu : Golgotha. C'est là qu'ils le crucifièrent, et avec lui deux autres, un de chaque côté, et Jésus au milieu.

Pilate fit un écriteau qu'il plaça sur la croix. Il y était inscrit : Jésus de Nazareth, le roi des Juifs.

Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l'endroit où Jésus fut crucifié était près de la ville. L'inscription était en hébreu, en grec et en latin. Les principaux sacrificateurs des Juifs dirent à Pilate : N'écris pas : Le Roi des Juifs; mais : il a dit : Je suis roi des Juifs.

Pilate répondit : Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit. //

Nous n'allons pas interpréter ce texte au-delà de ce qu'il nous est donné de le connaître, mais pour qu’il ait tenu tête au Grand Sacrificateur à ne pas tourner en dérision ses écrits, c’est que la chose ne fut pas faite par lâcheté. Pour repositionner le contexte dans une situation actuelle, ce serait disons un préfet ou un général, tenant tête au Pape. Ses paroles étaient donc, selon toutes vraisemblances, prononcées avec une pointe de dégoût et d'écœurement dû à son impuissance de persuasion dans la fonction Romaine qu'il occupait. Cette réponse était donc dirigée contre l'attitude religieuse et non vers Jésus, car il avait su faire la différence entre la « VERITE » et la simple attitude extérieure.

Dieu ne permit pas que Pilate puisse enrayer la machination religieuse, afin que Jésus puisse venir accomplir toute son œuvre de rédemption pour nous tous, mais il utilisa cet homme tenu à l'écart des systèmes religieux, pour adresser à tous ce message : « Vous pouvez dire que c'est un criminel, pour moi c'est le meilleur d'entre vous tous, le seul digne d'être Roi parmi vous ». C'est pourquoi le péché de cet homme, fut moins grand que celui de ceux qui le livrèrent, comme Jésus le dit en (Jean 19-11) « Jésus répondit : Tu n'aurais sur moi aucun pouvoir, s'il ne t'avait été donné d'en haut. C'est pourquoi celui qui me livre à toi est coupable d'un plus grand péché ». //

Nous retrouvons fortement cette attitude dans le caractère d’un bon nombre de français, qui se refusent à suivre quelque religion que ce soit, par l’assimilation qu’ils font de celles-ci à des systèmes corrompus. Une grande part d’entre nous garde intérieurement la conviction d'une vérité supérieure en Jésus-Christ, comparée à celle dont le monde chrétien leur témoigne par ses sempiternelles rivalités ou extrémismes. Ils pressentent une autre dimension, mais disent alors ne pas vouloir se préoccuper de Dieu, alors que c'est dans ce « pressentiment » que Dieu se trouve être pour eux, et duquel ils puisent leur perspicacité.

Même s'il est cent fois plus enrichissant de cœur, de voir Dieu agir dans toutes ses œuvres, peut-être n'ont-ils pas complètement torts, puisque Jésus dit en (Matthieu 24-23/27) Si quelqu'un vous dit alors : Le Christ est ici, ou : Il est là, ne le croyez pas. Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus.

Voici, je vous l'ai annoncé d'avance. Si donc on vous dit : Voici, il est dans le désert, n'y allez pas; voici, il est dans les chambres, ne le croyez pas. Car, comme l'éclair part de l'orient et se montre jusqu'en occident, ainsi sera l'avènement du Fils de l'homme.//

Dieu habite le cœur de l'homme. Mieux vaut donc travailler dans le secret de notre cœur dans la communion du Saint-Esprit de Dieu, que courir après les illusions trompeuses d'être reconnus des hommes, quitte à nous perdre devant Dieu.  

A l'image du péché de Pilate, face à celui des dirigeants religieux, le péché d'un grand nombre sera donc moindre que celui de ceux qui disent le représenter. C’est un peu cela la France, beaucoup se disent éloignés de Dieu, bien qu'ils aient reçu l’image de Jésus dans leur cœur. Le Saint-Esprit n’est peut-être pas aussi loin d’eux que certains ne le disent ? Ils se tiennent à l'écart de tout conflit religieux, c’est pourquoi ceux-là ne parlent peu, même si des plus téméraires s’en chargent à leur place. Après ce long temps au désert, Moïse fut dans ce cas, raison pour laquelle Dieu plaça Aaron à ses côtés. Ce sera peut-être le cas de certains Français ? Les flots de paroles que génèrent nos rivalités confessionnelles, contraires aux paroles même de Jésus, sont-elles réellement en Dieu ? Alors... C'est pourquoi avant cette période d’Antéchrist, Dieu permettra que beaucoup se tiennent quelque peu éloignés des églises, car ils s'assembleraient, non pour devenir meilleurs, mais pour devenir pires. Dieu veut se révéler à chacun de nous dans une démarche personnelle, dans un cœur à cœur avec le Saint-Esprit, qui conduit à la plénitude de l'âme. Nous devons perdre notre superbe de chrétiens qui se croient toujours plus en avance que tous les autres, alors qu’il s’agit là de notre faiblesse charnelle qui nous éloigne de Dieu. Dieu ne nous appelle pas à avoir raison les uns des autres, mais à nous aimer les uns les autres. Jésus a même dit, A ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples !   

L’espoir que nous devons conserver précieusement au fond de notre cœur, est de pouvoir tenir ferme aux assauts de l’ennemi. Cette fermeté Jésus la manifesta face à tout le système religieux de l’époque, et c’est pour cela que, confrontés aux mêmes difficultés, nous pourrons tenir ferme si nous plaçons toute notre confiance en lui et non dans des systèmes construit par la main de l’homme.

Notre espoir de paix ne doit pas nous faire oublier cette concession de paix humaniste que l'ennemi saura mettre devant nous. Nous n’aurons rien à craindre demain, si notre vie d’aujourd’hui peut se traduire par : (Apocalypse 12-11) Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau 1 et à cause de la parole de leur témoignage 2, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort 3.//

1)  Le sang de Jésus couvre les péchés dont nous nous repentons.

2)  Notre vie est un livre ouvert du témoignage de l'action de Dieu en nous.

3) Notre mort est dans notre volonté à faire disparaître la logique primitive de notre chair de toutes nos réactions, au profit de celle du Saint-Esprit de Dieu.

Le bonheur au-delà de toute intelligence existe, et c'est ce bonheur que Dieu nous réserve. Pourvu que personne ne se prive de cet espoir. L'espoir d'un jour meilleur auquel un certain Jésus, Fils de Dieu, est venu travailler pour nous, afin que nous nous réjouissions pour toujours avec lui.  

A lui : Père, Fils et Saint-Esprit, soit toute la Gloire, aux siècles des Siècles ! Amen !

SOMMAIRE



Avant Propos     4



Chapitres autobiographiques


Étais-je plus mauvais que d’autres      7

Les Plaines d’Ukraine


Février 1981 : La découverte 23

La liberté de la femme  50

Septembre 1981 : Les retrouvailles  56   



Chapitres Historiques


Étaient-ils plus mauvais que d’autres   62

Les révolutions   96



Chapitres à caractère Spirituel et civique


La Chair, la guerre !  141

L’être humain

Le couple, les groupes et les nations

Les limites de notre antique logique

Les fruits de la Paix  169

 1) Jésus : Homme ou Messie ?

 2) Les deux baptêmes

 3) Le Feu du troisième baptême

 4) L’intérêt du bon combat

 5) La sincérité simplement religieuse

La sanctification du peuple de Dieu     210

Le chemin des nations

Le premier devoir civique du chrétien 274

Où la France se place-t-elle ?  279

  Lettre de France à Isaac 310

  Lettre de France à Ismaël  314


L’Espoir 316


(Apocalypse 22-7) Et voici, je viens bientôt Heureux celui qui garde les paroles de la prophétie de ce livre !

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BIBLIOGRAPHIE



Georges  Duby, édit.Larousse

Histoire de la France, naissance d'une nation

des origines à 1348


Issus de la famille de Mérovée, petit chef               81

L'histoire des rois mérovingiens se termine,             81

Ce n'est pas sans raison que la papauté,                 81

Le royaume dont Charles Martel s'était assuré            83

Ce simulacre de royauté, en sont les germes              83

En l'année 751, le moment était enfin des                83

L'Eglise consacra donc le coup d'Etat                    83



Jean Favier, édit. Fayard

Charlemagne


Cette notion de peuple chrétien, Alcuin1                  89



François Amanrich, édit. Chronique Sociale

Comprendre les systèmes politiques


Révolutions parenthèses de l’histoire                    63

Du roi souverain au peuple souverain                     97



Georges Duby, édit. Larousse

Histoire de la France, dynasties et révolutions

De 1348 à 1852


C'est la Révolution française / la conspiration des égaux.         97

Michelet lorsqu’il évoque le paysan / monde de consommateur.  103                         

La Révolution fut donc le fait / moyens légaux et pacifiques.   103

Dans ce système des idées-forces /  une image du père.  104

cette expropriation massive / mythe de l'unanimité nationale. 105

à Paris, malgré la pluie / à sa parfaite unanimité.  105

Cette cassure devait, dans les mois / élément de polarisation. 106

Un an plus tard, la scène a / certaine révolution bourgeoise.    106

Le dynamisme populaire renouvelé / restait, alors, plus fermé.  106

A cette date, on peut / ces années 1791 et 1792. 107

Empereur et roi de Prusse / Louis XVI dans sa souveraineté. 108

La guerre déclarée le 20 avril / l’Ancien Régime européen. 108

Dans le dénombrement de ses participants / héros du drame. 110

A travers des documents très directs / sans-culottes parisiens. 110

les conquêtes sociales majeures / bouleversement social intégral. 112

Chacun a voulu être propriétaire / ne trouvèrent que la misère. 112

Mme de Staël l'a noté / ils voulaient changer d'inégalité  113

Le bonapartisme crée en effet  / armes à ses adversaires.   113

Mais Napoléon, très vite, est / origines du vol et de la rapine.    114                                       

Mais, le génie de l'ouvrier / hochets qu'on mène les hommes.  114

A partir de 1804 et jusqu’ / œuvres brutalement interrompues.  115

continuèrent à s'entasser / industrielle n'en était qu'à ses débuts. 116

Les paysans avaient souhaité / souvenirs de l'Ancien Régime. 117

ministre des Travaux publics / à effrayer le bourgeois.  122

le lendemain des élections / l'euphorie de la fraternité nouvelle  124

Dès cette première date / du faubourg par un inconnu isolé. 125

Pour la plupart des constituants / évidemment avantageuse. 127

Le 10 décembre 1848 / un citoyen comme les autres.  128

Car ce 2 - Décembre / république favorable aux petites gens ? 128




Raymond Picard, édit. Lidis

Civilisations Peuples et Mondes


Les bourgeois étaient déjà actifs,                       99

Si elle trouva des complicités                           100   

Même si la conscience bourgeoise                         102



Kenneth Morgan, Edit. Armand Colin

Histoire de la Grande Bretagne


Le problème que posait la rapidité                       98

Contemporains de Toynbee                                 99



Jean Elleinstein, édit. Sociales

Histoire de l’U.R.S.S.


Avec 174 millions de sujets et 21 784 000 kM2            130

Il est difficile de le comparer avec la monarchie        130

La famille impériale était nombreuse et                  131

Aux frontières, une surveillance sévère était            132

Pour échapper à la censure, on se passait des   132

Les arrestations arbitraires sont donc             132

L'Eglise orthodoxe est, avec la bureaucratie      133

La situation de la femme était particulièrement    133

L'éclat de la civilisation russe au XIXe siècle       134



Primo LEVI Extrait de l'appendice (rédigé en 1967)

pour la réédition de « Si c'est un homme » publié

 initialement en 1947. Éd. Juillard, 1987.


Extrait de Coûts et blessures – Edit. Iconovex           138

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