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CHAPITRE 7
L’Épouse de Christ, « libératrice » d’Israël
Après ce que nous venons de voir, il serait bien prétentieux de notre part d’insinuer que l’Épouse de Christ pourrait être libératrice d’Israël à elle seule, car le véritable Libérateur a déjà été donné à Israël il y a deux mille ans.
Ce n’est pas en tant que reproche envers Israël, que nous parlons ainsi, mais afin d’aborder maintenant les raisons qui ont maintenu Israël hors de cette bénédiction jusqu’à ce jour. Depuis deux-mille ans, Israël vit sous la condamnation et souvent la persécution, en raison de la crucifixion de Jésus, que le système religieux, établit à cette époque sur Israël, imposa même aux romains. Dieu savait qu’il ne pouvait en être autrement car ce n’est pas Israël qui est la clé de la porte vers Jésus, le Libérateur de la tutelle de Satan, mais l’Église de Christ, après sa transition vers la dimension de l’Épouse de Christ.
Dieu ne peut ouvrir la porte de la libération d’Israël, que si la complémentarité à son peuple élu est de nature divine, car ce serait sinon disperser les valeurs de base que Dieu apporta Lui-même à son peuple. Tant que la couronne de l’Église de Philadelphie ne sera pas réécrite dans sa totalité dans la nature divine, ce serait multiplier la dispersion de l’héritage divin et faire reculer Israël au travers d’une mauvaise mise en pratique charnelle, pire que celle que l’Éternel lui a transmise par sa présence à ses côtés.
Il en est en effet, d’Israël dans l’humanité, comme il en est de la femme dans le couple ou de l’église dans la société. Ce que le peuple racheté a souvent reproché au peuple élu, prend en effet un éclairage nouveau, si nous le regardons selon le développement que nous avons vu pour les autres binômes. Il nous est alors possible d’accorder le véritable sens biblique au terme ezer kenegdo, pour ce qui représente toute valeur XX dans les binômes divins, ce qui fait d’Israël l’alpha et l’oméga, le début et la fin, le point de départ et le point de Retour.
Ce n’était pas parce que son peuple élu était meilleur qu’un autre, que l’Éternel choisit celui-ci pour se révéler à l’humanité, mais sans doute parce qu’il était celui qui représentait le plus la dimension XX sur terre à cette époque. Comme nous l’avons vu pour l’épouse et l’église, l’absolue nécessité de conserver des valeurs structurelles, placées dans la conscience humaine au niveau de la femme, fait que Dieu utilisa le peuple hébreu pour mettre en évidence cet impératif. Le problème de cette meilleure stabilité en rapport à la conscience humaine, place cependant le sujet dans une structure émotionnelle beaucoup plus auto protectrice, qui limite son adaptabilité pourtant toute aussi indispensable à la sortie de la tutelle de Satan.
Dieu connaissait toute chose que l’humain ne pouvait comprendre à cette époque et ce n’est pas parce que nous sommes devenus meilleurs, que Dieu peut nous révéler ses voies, mais parce que, les temps du règne de Christ sur terre et dans les cieux, vont en se précisant de jour en jour.
Pour que Dieu ouvre cette porte à Israël et permettre à son peuple l’entrée dans la mise en pratique hors de la tutelle de Satan, il est donc fondamental qu’une part XY lui soit apportée et que cette part ait été préalablement réécrite dans la Nature de Christ, pour lui être cent-pour-cent complémentaire, sans disperser les valeurs divine. Si Dieu avait laissé faire, ou laissait faire encore aujourd’hui sur une autre base que celle qu’il communiqua par sa présence auprès de son peuple, ceci voudrait dire qu’Il s’abstient de rendre l’humanité semblable à Christ et que Christ, le Libérateur, serait donc mort pour rien.
Si ce Libérateur sera donc Jésus dans les cieux, comme il en est pour chacun sur terre, ce sera parce que le point de repère vers la nature divine que constitue Israël encore aujourd’hui, ne sera plus indispensable. C’est par l’accomplissement de la bonne mise en pratique, ayant permit à Jésus dans les cieux, le total renouvellement de nature divine, d’un groupe d’humains nés dans la nature originelle sur terre, que Dieu pourra libérer Israël.
Le but que Dieu poursuivait au travers de sa révélation à l’humanité depuis Adam et Ève, n’était pas de faire de son peuple une élite, qui allait régner sur les nations, mais que cette humanité puisse vivre en ammonie et dans la vocation qu’il a placée sur elle dans ses gènes. Nous sommes arrivés à ce point de non retour, au travers du quel nous voyons fort bien à tous les niveaux, que la logique charnelle ne peut plus exister sans faire prendre à l’humanité le risque de s’autodétruire. Si donc,
Dieu avait voulu établir son peuple comme maître de l’humanité et non comme guide au bon emploi de son Saint-Esprit, il aurait choisi un peuple grand et puissant, capable d’imposer ses lois avec sévérité, mais ce n’était pas le cas.
Son peuple représentait donc un point de départ, puisque pour pouvoir sortir de la tutelle de Satan, établie pour contingenter au mieux nos comportements sur notre génétique, il Lui fallait déjà établir une base la plus stable possible en rapport aux valeurs écrites dans celle-ci. Dieu savait pourtant que par conséquence directe, cela plaçait ce peuple comme étant sans doute celui qui aurait le plus de difficulté à adapter les préceptes divins à la bonne mise en pratique. Si Dieu savait que le sauveur qu’Il avait annoncé à Israël ne pourrait être pleinement reconnu par son peuple, c’est que cela représentait plus pour Lui une sécurité qu’un handicap. Il fallait en effet que la libération présentée à ce peuple corresponde, non pas à la meilleure mise en pratique à partir de la logique humaine, mais de nature divine. Dieu allait donc renforcer la persévérance d’Israël, dans le refus d’adhérer pleinement à des idéologies boiteuses, tant que l’humain allait s’obstiné à imposer des valeurs non conformes à celles que l’Éternel avait transmises à Israël par sa présence à ses côtés. Ce n’est donc qu’une fois qu’une part de l’Église de Christ sera entrée dans la réécrites de son esprit dans la nature divine par l’action du Libérateur dans les cieux, que Dieu ouvrira pleinement les portes vers la sortie de la tutelle de Satan à son peuple élu.
Encore une fois, nous pouvons voir la nécessité d’une complémentarité, car Dieu n’a pas partagé la vie de son peuple élu, pour faire de lui une élite parmi les nations, mais pour en faire un point de repaire vers ses préceptes, un point de mire, vers Lui.
Au lieu de se construire sur les mêmes bases, mais dans un renouvellement dans la nature divine de son esprit, le peuple racheté tâtonna dans ses recherches de la volonté divine et se fit le plus souvent, le justicier de Dieu depuis deux milles ans. L’Église utilisa alors ce point de mire pour mieux tirer à boulet rouge sur le peuple juif, comme il en fut d’Hitler, mais également comme il en est fréquemment du mari envers la femme. Le peuple racheté devint de ce fait encore pire que le peuple élu qu’il combattait, non pas seulement depuis la seconde guerre mondiale, mais depuis des siècles de condamnation. Cette condamnation conduisit en fait le peuple racheté à reproduire les mêmes erreurs que le peuple élu, tout en lui faisant la guerre à cause de ce qu’il interprétait être, les mauvaises pratiques du peuple élu.
De même que nous retrouvons les conflits de générations produisant souvent pire que ce que les pères avaient fait, nous retrouvons les erreurs du peuple élu lorsque celui-ci imposa à Dieu un roi de nature divine, alors que le peuple racheté alla jusqu’à instaurer des monarchies de droit divin. Dans son abnégation, de même que l’Éternel s’était soumis à son peuple élu en lui choisissant un roi, tout en le prévenant de tout ce que ce roi humain lui causerait comme difficultés, Dieu laissa faire en Jésus Christ les mêmes erreurs à son peuple racheté, afin que chacun se rende compte qu’il n’était pas meilleur que l’autre. C’est pourquoi notre histoire regorge de despotes alliés aux dérives des églises qui régnèrent sur l’humanité en maîtres absolus et apportèrent des intégrismes chrétiens. Ce que Dieu avait donné comme réponse à l’interrogation du prophète Samuel était pourtant clair, comme nous pouvons le lire en 1 Samuel 8 – 7 Ecoute la voix du peuple dans tout ce qu'il te dira; car ce n'est pas toi qu'ils rejettent, c'est moi qu'ils rejettent, afin que je ne règne plus sur eux.
Dans ses présomptions et ses convoitises de pouvoir faire mieux qu’Israël, l’église, qui avait pourtant un certain recul, ne sût pas tenir compte davantage de toutes ces mises en garde, car au travers des rois qu’elle mit en place, ce sont ses propres mises en pratique qu’elle tenta de faire régner. Elle adopta en cela le rôle de sentinelle et tout à la fois, celui de général. Si le rôle de sentinelle eut été juste devant Dieu, le rôle du général combattit Dieu, et détruisit la bonne image du vrai Dieu, qui fut de plus en plus confondu avec notre despotique tuteur.
Par confusion entre le vrai Dieu et celui qui en avait pris la place sur terre, une part de l’humanité fit alors des révolutions anti Dieu pour instaurer des idéologies humaniste dans laquelle Dieu était banni, au travers de dictatures prolétariennes, alors que dans l’autre part de cette humanité les grands dictateurs fleurirent, jusqu’à produire la naissance d’Hitler et sa volonté destructrice de tout juif sur terre.
Si durant quelques décennies, l’idolâtrie des grands hommes régnants sur l’humanité, eut tendance à s’amenuiser en faveur du pouvoir des nations, elles refleurissent aujourd’hui, comme nous pouvons être témoins de la recherche effrénée de puissance pour mieux dominer. Maintenant que le souvenir de la seconde guerre mondiale s’estompe peu à peu, tous, ou presque, veulent redorer le blason des grands empires perdu pour mieux dominer le monde, ce qui dévalorise toujours plus l’équilibre de Dieu en Jésus-Christ, avec le Saint-Esprit pour guide.
Par opposition à ces excès fait au nom du Dieu d’Abraham, d’Isaac et Jacob, nous retrouvons de ce fait aujourd’hui des religions monothéistes, aux dérives intégristes, ou des idéologies humanistes sans Dieu, dont le leader est vénéré presque comme tel. Dans les premières la peur d’un Dieu répressif est utilisée pour mieux supprimer toute liberté individuelle à l’humain et surtout aux femmes, alors que dans les secondes c’est l’intelligence artificielle de la « bête », qui est utilisée à des fins restrictives, au lieu d’être utilisée à bon escient pour l’humanité. Le pire est que dans leurs excès de libéralismes inconditionnel, les sociétés fondées sur la recherche d’équilibre des valeurs divines, ne se rendent pas compte que celles fondées sur un extrémisme charnel, portent parfois dans certains domaines, de meilleurs résultats qu’elles ne le portent elles-mêmes, par leur manque de civisme ou dans des présomptions qui sont venues remplacer la foi dans l’Amour de Christ.
Si dans ce dernier type de société, chacun partait du critère de l’amour de son prochain en toute humilité, il ne lui serait pas difficile de discerner qui est l’instigateur de toutes ces dérives et c’est bien en cela que nous pouvons discerner les temps dans lesquels nous sommes. Chacun travaille à sa propre gloire et non celle de Dieu, comme s’il avait mis des œillères pour l’empêché de prendre conscience du temps présent. L’important reste donc aujourd’hui de placer notre confiance dans le Saint-Esprit de notre Dieu en Jésus-Christ, en recherchant d’accomplir en nous-mêmes et avec son aide, ce qui balaiera notre propre aveuglement.
Nous ne sommes pas dans une course effrénée, dans laquelle chacun doit passer la ligne le premier pour être sauvé et pouvoir s’octroyer alors la Gloire qui revient à Dieu. Nous sommes dans un processus entrepris par Dieu depuis Adam et Ève et le plus important est de rechercher pour soi-même la présence de Dieu, par son Saint-Esprit.
Plus nous sommes loin de Dieu, plus nous devons donc prendre le temps de nous assoir pour rechercher la présence divine, sans y mettre en premier, nos peurs et nos convoitises, mais en tentant de mettre en pratique avec l’aide du Saint-Esprit, la plus petite des choses dans laquelle Il va Lui-même nous conduire. Sur la croix, les briguants qui entouraient Jésus, n’avaient peut-être pas plus de temps que nous pour choisir, mais l’un d’entre eux choisi le bon côté.
Celui qui a la présomption de savoir, est celui qui est le plus en danger, car il n’a plus besoin de Dieu, alors que seule la communion avec le Saint-Esprit, peut nous guider utilement à savoir être là où Dieu nous veut. Nous l’avons vu dans le précédent chapitre, l’apôtre Paul le disait déjà lui-même, car il faut qu'il y ait aussi des sectes parmi vous, afin que ceux qui sont approuvés soient reconnus comme tels au milieu de vous.
Ce n’est pas à nous de rechercher à lutter contre ces sectes, pas plus qu’à rechercher la justification des hommes, car celle de Dieu viendra en son temps. Dans Apocalypse trois, Jésus envoie Lui-même les pions de la synagogue de Satan se prosterner aux pieds de ceux de l’Église de Philadelphie, non parce que c’est elle qui les aura convaincus de péché par la condamnation qu’elle aura placé sur eux, mais par la compassion qu’elle aura eut pour chacun d’eux en toute vérité. Il en est ainsi pour chacun et pour les nations elles-mêmes, tout autant que pour Israël que Dieu Aime et soutient toujours de son Amour sans faille. Celui qui recherche les justifications humaines, peut être certain aujourd’hui de donner inconsidérément raison à l’antéchrist déguisé en ange de lumière, ce qui signifie qu’il tentera de faire régner la loi divine comme en son nom, en dénonçant les erreurs des autres pour mieux les dominer par des mesures coercitives et brutales.
Si la fin du monde est sur le point d’arriver, le monde de demain, duquel Satan aura été banni, ne se passera pas uniquement dans les cieux, mais sur terre comme aujourd’hui. Tant que Jésus avait tout accompli, mais que le processus engagé par Dieu pour revêtir l’humain né dans sa logique charnelle, n’avait pas été renouvelé en totalité dans la nature divine dans son cerveau, la sentence pesant sur Satan ne pouvait pas être mise en application.
Beaucoup de choses ont été affirmées comme venant de Dieu en Jésus-Christ, alors qu’elles n’étaient que des interprétations charnelles de la parole de Dieu. Notre espérance en ce Dieu d’Amour, doit donc faire abstraction de toutes les visions utopiques et des scénarii mettant en œuvre le retour de Christ dans ses interprétions rocambolesques, dont nous avons tous plus ou moins entendu parler.
Beaucoup de mauvaises interprétations du retour de Christ, donnent en effet raison aux mêmes erreurs qu’Israël fit dans l’attente du libérateur, en ne plaçant pas celui-ci dans la dimension dans laquelle Dieu à toujours voulu le donner à l’humanité. Tout comme sa logique charnelle avait peut-être conduit Judas Iscariote à imaginé Christ descendant de la Croix après son décès, pour mettre tous les romains atterrés hors d’Israël, une grande part du monde d’aujourd’hui attend le Retour de Christ dans lequel les « vrais chrétiens » monteront vers lui en cœur, multipliant la stupeur des autres, laissés sur une terre proche de l’embrasement.
Ces théories en entrainent un grand nombre à dénigrer le réchauffement climatique, devenu inutile pour leur propre survie, selon leurs présomptions, mais recherchent à amasser sur terre ce qui leur permettra de dominer le monde, alors qu’ils comptent être eux-mêmes enlevés au ciel… ?
L’enlèvement de l’église, n’existera pourtant pas seulement dans ces temps à venir, car depuis la Crucifixion, tout chrétien mort en Jésus-Christ, ne voit pas la mort spirituelle, comme ce fut le cas de Jésus après sa résurrection et comme Il de dit Lui-même au brigand sur la croix. Lorsque Dieu donne donc la vision d’un enlèvement pour une personne ou une famille, ce n’est pas seulement pour annoncer l’heure de son retour, mais pour confirmer qu’Il ne laissera pas aller ces personnes à la perdition.
Si nous regardons par contre à l’enlèvement de l’église et faisons le rapprochement avec sa vocation de conduire chacun hors des droits répressifs de la tutelle de Satan, il est aisé de comprendre qu’elle n’aura plus aucune raison d’être en tant « qu’église », puisqu’elle sera entrée dans la dimension « d’Épouse ». Si donc des « églises » resteront sur terre, au même titre que les femmes dans le couple ou d’Israël parmi les nations, elles n’auront plus la vocation de conduire quiconque à se protéger de la tutelle de Satan, puisqu’après avoir été projeté sur terre, il sera lié pour mille ans. Cela voudra-t-il dire qu’après ce retrait, cet enlèvement de l’église, nous serons tous devenus parfait ? Surtout pas, car tout comme Jésus dût résister à ne jamais donner raison à une dimension charnelle, l’humain naîtra certes du Saint-Esprit dès le sein de sa mère, puisque Jésus règnera sur terre et dans les cieux, mais l’humain devra continuer de perdre tous les mauvais préceptes accumulés, dans lesquels beaucoup continueront de tomber en suivant d’avantage leurs traditions religieuses que le Saint-Esprit. Ce sera sans doute particulièrement le cas pour ceux qui auront vécu la tutelle de Satan et non seulement les temps à partir desquels Jésus règnera sur terre et dans les cieux.
Si Dieu se reposera, c’est que tous les litiges, qui permettaient à Satan de demander à Dieu des sanctions sur l’humain, auront disparu. L’humanité devra cependant continuer de se départir de toutes les scories laissés par la logique charnelle sur l’humanité, avant que Satan ne soit relâché que pour peu de temps et que cette humanité puisse entrer dans la perfection.
C’est pourquoi Jésus règnera avec un sceptre de fer, car même si la main qui tiendra ce sceptre sera revêtue d’un gan de velours d’Amour, l’intégrité de chacun sera mise à nue face à ses faiblesses résiduelles, en vue de sa repentance, précurseur de la plus grande conquête du temple du Saint-Esprit.
Le réel objectif divin, de sortir l’humanité de la tutelle de Satan, par la reconstruction du Temple du Saint-Esprit en chacun est aujourd’hui mis de côté au profit de la reconstruction de celui fait de pierres, là où l’antéchrist se proclamera Dieu dans le temple. Il ne s’agit pas de dénigrer l’utilité de la reconstruction du Temple de pierre, car la première phase de notre reconstruction spirituelle doit se faire sur des valeurs charnelles apprise dans ce Temple, avant de pouvoir devenir de nature divine. Si donc le temple de pierre a son importance, notre but doit être de mettre en pratique toute action depuis des sentiments réécrits par Christ, afin de ne plus pouvoir être surveillés par l’ennemi de nos âmes, au jour où le paraclet aura été enlevé.
Nous n’entrerons pas dans des pronostiques de chiffes, même s’il est compréhensible qu’il ne s’agit pas là d’un simple accomplissement individuel. C’est aussi pourquoi Jésus nous a mis en garde de ne pas aller vers ceux qui diront « il est ici ou il est là » mais de nous en tenir à notre communion avec le Saint-Esprit.
C’est cette communion avec le Saint-Esprit en chacun de nous que Dieu attend, dans l’Amour de le servir et de Lui être agréable. Le Saint-Esprit est celui qui doit bannir la peur car c’est elle qui conduit à la condamnation et l’intégrisme. Étant celui qui nous conduit à voir les détails spirituels comme au microscope pour mieux séparer le sentiment de l’action produite, c’est dans la vérification de notre manque d’Amour qu’Il veut nous conduire à faire la bonne comparaison en toute intégrité dans chacun de nos sentiments, jusqu’à la totalité de notre esprit réécrits dans la nature divine. C’est seulement à ce moment là que Dieu ouvrira la porte de la Liberté en Jésus-Christ à Israël.
Si l’homme venait à reconstruire une multitude de temples à Jérusalem, peut-être pourrait-il contraindre toute confession en Israël à s’y rendre, mais si Dieu reconstruit en Jésus-Christ, un seul temple du Saint-Esprit à l’image de Jésus, tout Israël Glorifiera Dieu, à la fois dans le temple de pierre et celui du Saint-Esprit, car c’est Dieu qui aura ouvert la porte.
A Dieu soit toute la Gloire en Jésus-Christ, au siècle des siècles.
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