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Chapitre 2


La réconciliation des sept Églises, conduit à l’avènement du Christ régnant


Le système émotionnel qui se crée sur des valeurs personnelles en chacun de nous, depuis le sein de notre mère jusqu’à nos vingt-cinq ans, est indispensable pour gérer nos diversités génétiques, créées par Dieu pour assurer la survie de la race et l’intégration de l’humain au sein de la création divine. De toutes les variables que cela génère, il en ressort les sept grands traits de spécificités spirituelles, correspondant au cheminement de la complémentarité des couples vers Dieu, qui est visualisé à nos yeux par une appartenance à l’une des sept Églises, décrites dans Apocalypse 2 et 3. Qu’il s’agisse du couple homme/femme, ou les tendances spirituelles collectives apportées à l’ensemble de la société par les églises dans chaque démocratie, il en ressort une valeur évolutive d’appartenance à l’une ou l’autre de ces sept Églises, en fonction des motivations spirituelles des intéressés, dans leur cheminement vers Dieu.

Dans notre sincérité individuelle, les pièges, de nos condamnations réciproques, se situent donc dans l’impact que les divers enseignements de la parole de Dieu produit sur nos diversités génétiques, toutes aussi importantes les unes que les autres pour notre survie et notre intégration au sein de la création. En Jésus-Christ, Dieu veut donc utiliser ceux qui reviennent de leurs mauvais comportements charnels dans chacune de ces « Églises », pour produire l’évolution vers laquelle il conduit l’ensemble de l’humanité. Durant le millénium de demain, ce sera donc leurs particularités individuelles, utilisées avec intégrité, au travers du règne de Christ sur terre et dans les cieux, qui éviteront les privilèges de certains, au détriment des autres, contrairement à ce que nous pouvons voir aujourd’hui.

La mise en évidence des courants spirituels que forment ces sept Églises, deviennent prépondérants depuis la restauration d’Israël en 1948, car ils concernent les temps présents, étant donné qu’ils sont cités dans le livre de l’Apocalypse, que nous appellerions celui de la Révélation, si nous le citions en anglais. L’extériorisation du caractère de ces « Églises », ressort donc, tant au sein des couples individuels que de certaines démocraties aujourd’hui, alors que leurs différences étaient moins marquées à la période précédant 1948, au travers des consensus qui générèrent la restauration d’Israël. Ce n’est pas que les personnes concernées aient été plus justes devant Dieu que maintenant, mais parce que ces consensus n’avaient pas pour vocation de lier Satan pour mille ans, comme il en est aujourd’hui, mais simplement de lui résister. Si ces sept valeurs pouvaient déjà ressortir de chacune de nos démocraties, elles ne pouvaient donc s’observer que dans les motivations qui conduisaient à la mise en pratique des règles imposées par les circonstances et non dans leur respect global, dont le résultat apparent restait semblable.

C’est pourquoi l’idéalisation par le « nouvel ordre mondial », de la spiritualité précédant cette restauration d’Israël, apporte un faux objectif aux générations nouvelles, par méconnaissance du mode de vie que ces consensus sociétaux religieux représentaient pour un grand nombre dans nos démocraties. Les valeurs de Christ n’étaient majoritairement pas vécues de « cœur », dans le réel amour de Dieu en Jésus-Christ, mais bien plus fréquemment par des superstitions, ainsi que la peur de la condamnation, et de la mise à l’écart du reste de la société. Cette mise à l’écart pouvait alors s’accompagner de persécutions au nom de Dieu sur les minorités, qui servaient de boucs émissaires, à cause de la non-conformité aux valeurs globales portées localement par l’église. Il est donc aisé de comprendre que Jésus veuille aller plus loin dans la vérité de l’Amour, lui qui nous a dit, lorsqu’il était encore sur terre : « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés », et ajouta « Il n’y a pas de plus grand Amour que de donner sa vie pour celui que l’on aime », ou encore « Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ».

En Jésus-Christ, Dieu n'a cependant pas attendu que l’Église de Philadelphie puisse produire un Amour selon Lui, comme nous l’avons vu dans le premier chapitre, pour demander à chacun d’agir avec amour selon les préceptes divins. Nos diverses motivations d’amour, ne portent pas nécessairement un fruit selon Dieu, car notre amour de base égocentrique, mal corrigé vers celui de l’Amour divin pour notre prochain, peut aller jusqu’à produire l’effet inverse à celui recherché, et c’est bien à cela que Jésus veut nous faire travailler.  Dieu connait en effet toute chose, et sait que, malgré les bonnes volontés de chacun, les actions qui ne portent pas du bon fruit selon la volonté divine, sont généralement dues à la confusion qu’apporte la programmation de nature charnelle dans le cerveau de l’intéressé, devant être adaptée par la maitrise de soi, à toutes les circonstances de la vie individuelle ou collective, pour obtenir un résultat correspondant à la définition consensuelle de l’Amour divin.

C’est l’adaptation de ces programmations de base charnelle, qui nécessitent le consentement individuel de chacun, du fait que personne ne dispose d’un système émotionnel crée sur la base d’un Amour divin, mais sur un amour égocentrique auto protecteur, nécessitant une tutelle spirituelle. C’est pourquoi les consensus individuels restent indispensables aujourd’hui, même si tout humain est contraint de prioriser ce qu’il considère être l’Amour divin au profit de ses analyses de la parole de Dieu, ou réciproquement, lorsqu’il est confronté à l’interprétation de toute forme de consensus pour prendre une décision d’action. Si cette première phase de notre cheminement vers Dieu en Jésus-Christ, reste donc individuellement consensuelle, elle est potentiellement scellée par Christ au travers du baptême du Saint-Esprit, dans le « cœur », afin d’apporter à notre système émotionnel ancien, une meilleure correction possible de celui-ci vers le respect de la Parole de Dieu, selon son Amour divin.

Continuer d’imposer collectivement ce même type de consensus entre l’église et la société, reviendrait par contre à rechercher un meilleur consensus que celui ayant généré Israël, sans pour autant sortir de la tutelle de Satan, alors que lui-même n’a pas accès à ce type d’Amour, contrairement à Christ qui donna sa vie pour le pardon de toute dimension charnelle.

Cette première phase, encore individuellement consensuelle aujourd’hui, sera évitée demain, durant le millénium, puisque l’accomplissement du total renouvellement individuel dans la nature divine, aura ouvert le droit à l’Éternel Dieu en Jésus-Christ, de doter tout humain du Saint-Esprit dès sa procréation. Les deux valeurs distinctes entre l’Amour divin et le respect de la parole de Dieu, bien que fondamentales, ne sont que consensuelles aujourd’hui, et seront alors remplacées par une seule valeur de nature parfaitement divine. Pour que cet Amour reste de nature divine, il ne faudra donc plus en corriger la nature de base, comme c’est le cas de l’amour égocentrique, mais simplement lui apporter le niveau d’utilisation en rapport à la situation rencontrée, ce qui facilitera grandement la précision à lui apporter et la Paix sur terre. C’est la construction émotionnelle, fondées sur cet Amour juste, qui apportera implicitement le véritable respect de la parole de Dieu avec intégrité, en rapport à la génétique personnelle de chacun, ce qui en accroitra également la perception naturelle des limites et le respect de tous envers leur prochain.

C’est au travers de ces meilleures limites que cet accomplissement apportera progressivement la réelle vie en abondance, promise par Jésus, à mesure que la disparition des influences spirituelles néfastes sur les sentiments de l’adolescence, disparaîtront de la vie collective. Chacun pourra alors vivre en accord parfait sur toute la valeur de sa génétique personnelle, contrairement à aujourd’hui où personne ne peut l’utiliser dans sa totalité. C’est en effet par manque de précision de notre système émotionnel de base, ne permettant pas une adaptation individuelle à la génétique de chacun, sans tomber dans l’erreur, que nous sommes encore contraints à un emploi restrictif de notre génétique, qui influence à dominer les autres pour obtenir d’eux ce que nous considérons juste individuellement. C’est ainsi que, quel que soit notre bonne volonté, l’incompréhension réciproque se loge encore entre l’homme et la femme, tout autant qu’entre les sept Églises, les unes envers les autres, pourtant toutes nécessaires à cette diversité émotionnelle, utile à gérer l’ensemble de la génétique humaine. La précision du système émotionnel construit sur les bases du Saint-Esprit, apportera demain la différence, là où l’amour égocentrique, qui nécessite une correction volontaire vers le respect d’autrui selon la parole de Dieu, contraint aujourd’hui à une globalisation restrictive indispensable, à laquelle chacun ne se soumet pas de la même façon.

C’est pourquoi il ressort un si médiocre résultat global depuis 1968, car l’accès au Saint-Esprit sur l’ensemble de l’Église, que sont devenues nos démocraties, généra ce que dit un adage chrétien, cité fréquemment dans l’église : « lorsque Satan ne peut plus te retenir de donner raison à Christ, il te pousse dans le dos pour te faire tomber ». C’est ce qui arriva au niveau de la société, hors église, qui se refusa aux trop lourds impacts religieux de l’époque, car ceux qui entrèrent dans le fait de vouloir produire une société fonctionnant déjà comme celle du septième jour de Dieu, croyant le millénium déjà arrivé après la seconde guerre mondiale, voulurent agir uniquement par amour, comme ce sera le cas demain. Parce qu’ils rejetèrent ce que leurs parents tentaient de vivre dans le respect de la parole de Dieu, en y apportant la part d’amour la plus juste possible selon eux, leurs enfants produisirent alors le « Peace and Love », que l’Église de Laodicée était dite devoir produire, et dont nos démocraties actuelles gardent certains stigmates. Cela toucha en priorité les plus sincères devant Dieu, qui se trouvèrent baptisés du Saint-Esprit, sans généralement le savoir eux-mêmes, et confondirent l’Amour divin avec leur amour charnel, pollué par les effets de la drogue, leur apportant des délires spirituels. Les plus sincères dans leurs extravagances, l’interprétèrent comme venant de la volonté divine, et furent les plus suivi par un grand nombre d’opportunistes en tous genres, ce qui généra les erreurs dont nous sommes encore témoins aujourd’hui, malgré la sincérité d’un grand nombre.

Ce n’est donc pas un hasard, si cette Église est citée en dernier dans l’Apocalypse, du fait qu’elle est issue de la partie consensuelle, hors église dans nos démocraties, elles-mêmes issues parfois de certaines dérives chrétiennes idolâtres dans la divinisation de personnages bibliques ou non, et non par la communion avec le Saint-Esprit en Christ.

Jésus laissa donc faire et couvrit majoritairement les erreurs de nos démocraties, car étant donné que personne ne naît encore aujourd’hui dans l’Amour divin, celui qui était conduit à apporter collectivement l’Amour, ne pouvait l’apporter que par des extensions humanistes de l’amour égocentrique, tout comme celui dont la vocation était le maintien sur le respect de la parole de Dieu, ne pouvait le faire que dans les limites de la globalisation de sa propre perception spirituelle de la volonté divine, correspondant à l’une des sept Églises et non à leur ensemble, comme Dieu en poursuit l’objectif.

Comme nous l’avons vu dans le premier chapitre, si ces dérives étaient inévitables pour accéder à l’accomplissement de la nature divine sur l’humain dès sa naissance, et le règne de Christ sur terre et dans les cieux, ce sont ses excès hors des limites de la couverture de Christ, qui ouvrent des droits à l’ennemi de nos âmes sur cette Église de Laodicée.

C’est dans ses débordements qu’elle se fait piéger encore aujourd’hui à imposer des lois collectives, contraires à la parole de Dieu, qui pourrait être acceptable individuellement, dans certains cas particuliers de la tolérance envers le pécheur. Chacun de ces cas pourraient alors être individuellement couvert par l’œuvre de Jésus à la Croix, à laquelle pourrait alors s’ajouter collectivement l’acceptation des différences individuelles sans condamnation, là où il ne s’agissait préalablement que de cette tolérance envers le pécheur.

Lorsque Jésus demande la tolérance et le respect de l’humain dans l’erreur, cela englobe les possibilités d’erreur génétiques, sans persécuter l’humain différent, et lui ouvre également la possibilité de couvrir l’erreur émotionnelle conduisant au mauvais respect de la génétique, pour en corriger un jour l’impact.

La tolérance de cette différence, n’étant pourtant qu’une concession volontaire, qui est laissée à l’appréciation de chacun, ne constitue pas une acceptation, comme le nécessite le contexte civilisationnel, pour que l’humain dans l’erreur émotionnelle, puisse avancer librement dans cette forme de psychothérapie que nous avons vu dans le premier chapitre. Il était donc indispensable d’aller plus loin qu’une simple tolérance, car sans cette liberté en Christ, il n’y aurait pas la liberté d’accéder à sa nature et c’est dans cette liberté mal employée collectivement, que cette Église de Laodicée dépassa la volonté divine, par l’application de la théorie du genre par exemple.

La tolérance et le respect de l’humain auquel on accorde le droit que son système émotionnel choisisse lui-même ses attributs sexuels, définis normalement par sa génétique, ne devient plus la tolérance envers le pécheur, mais le droit au péché envers son Créateur. Jésus ne peut alors couvrir ce genre d’erreur collective, car il n’est pas venu abolir la loi, mais l’accomplir, pour pouvoir nous amener à devenir semblables à Lui émotionnellement, dans le bon respect de notre génétique individuelle.

Si c’est à cause de tels débordements que Jésus dit que Dieu vomira cette Église, ce n’est pourtant pas à nous de rejeter l’utilité de celle-ci, dans l’utilisation que Dieu en fait pour préparer notre lendemain, mais d’en être les avocats, sans pour autant donner raison à ses excès.

Les seuls excès à blâmer sont donc ceux qui apportent une influence néfaste à la bonne gestion de la génétique collective, jusqu’à générer des confusions émotionnelles sur les plus jeunes, qui sont en demande de repères. Ces règles n’amènent plus la seule tolérance envers le pécheur, mais l’ouverture au péché, et contribuent de façon collective, aux comportements individuels d’Acan à Jéricho, qui généra la défaite de Aï, en Josué 7. Il n’en va pas différemment des règles qui interdiraient cette tolérance envers le pécheur, en tentant de réinstaurer des consensus sociétaux religieux, dont le manque de liberté individuelle, en rapport à la génétique personnelle de chacun, conduirait à un éventuel retour des persécutions des minorités et des femmes.

Ce sont nos guerres que nous devons mettre de côté, car elles nous conduisent à mettre en place un lendemain que nous considérons juste aujourd’hui, sans avoir compris de quoi demain doit être fait devant Dieu. L’ennemi de nos âmes les utilise alors pour tenter de nous entrainer avec lui, afin d’éviter le réel accomplissement de l’œuvre de Christ sur cette terre. C’est en effet dans nos présomptions de connaissance personnelle d’être agréable à Dieu, ou dans beaucoup d’autres motivations opportunistes de dominer nos congénères, reçues de nos ascendants, que nous nous faisons piéger à vouloir apporter, ce que nous considérons être bon sur le plan sociétal, pour notre descendance ou pour autrui. Le manque de précision de la programmation des parties émotionnelles de notre cerveau, en amène pourtant certains à aller jusqu’à persécuter autrui au nom d’un dieu, qui n’a plus rien à voir avec celui de l’Amour de Dieu en Jésus-Christ, au nom duquel ils croient agir. Que ce soit dans l’adoptions de règles simplement humanistes, par tolérance du péché, ou par une intolérance légaliste issue d’un égocentrisme religieux, nombreux sont ceux qui croient agir au nom de Dieu en Jésus-Christ, là où il ne font que donner raison à leur interprétation personnelle, de ce qu’ils considèrent bon pour une démocratie de base chrétienne.

Nous y retrouvons alors nos bonnes volontés humaines au travers de nos combats qui soutiennent charnellement nos propres perceptions de la volonté divine, dans lesquelles il nous est facile de franchir le cap, d’aller jusqu’à tomber dans le piège dans lequel le grand dragon, décrit dans Apocalypse douze, est aujourd’hui tombé, en faisant la guerre à sa descendance. Faute de recevoir le droit devant Dieu, d’éliminer directement les démocraties, qui sont couvertes par le sang de l’Agneau, pour donner naissance à « l’enfant mâle », il s’est retourné contre sa descendance, qu’est l’Ukraine, considérant posséder sur elle, des droits et devoirs répressifs devant Dieu.

Ce sont donc les excès de ce grand dragon, qui apportent aujourd’hui aux yeux des sept « Églises en Christ », la visualisation des limites à ne pas franchir, pour ne pas tomber individuellement et collectivement dans les travers de Satan projeté sur terre, que ce soit dans l’excès libertaire ou l’excès répressif, durant l’attente de l’accomplissement provenant de l’Église de Philadelphie. Il nous faut en effet rester vigilant, à ne pas combattre l’Église de Laodicée, dans ce qu’elle représente de juste devant Dieu dans nos démocraties, pas plus que cette Église de Laodicée ne doit combattre les valeurs chrétiennes portées par les six autres, tant que celles-ci ne tentent pas de restaurer un consensus global conduisant à une forme d’intégrisme chrétien.

Comme nous l’avons vu précédemment, ces consensus impliqueraient la conservation de la tutelle de Satan, bien qu’il n’ait pas accès à la nature divine, que Dieu veut instaurer sur l’humain. Cela ouvrirait donc des droits de domination à l’Église de Sarde, qui se croit vivante par ses présomptions en Christ, alors qu’elle est morte à l’obéissance des réelles valeurs divines, au profit de ses objectifs de dominer le monde par sa puissance financière, dans une connivence directe avec Satan projeté sur terre.

De même que les premières tribus installées à l’est du Jourdain fournirent des hommes en âge de se battre pour soutenir celles entrant en Canaan, une part de chacune des sept Églises ont aujourd’hui à revenir de leurs erreurs, en participant à redresser les valeurs de cette Église de Laodicée et non en la faisant disparaître.

C’est dans leur combat contre l’Église de Laodicée qu’elles se font sinon piéger, car plus ce combat est violent, à cause de leurs incompréhensions, moins elles peuvent apporter à autrui, la part d’Amour devant ressortir de chacune d’elles. Les valeurs acerbes de leur amour en Christ, contribuent alors à pousser ceux qu’elles devraient amener à Christ, vers les spiritualités impies d’un grand nombre d’émigrés, qu’elles combattent charnellement pour s’en protéger. C’est en cela qu’elles courent le risque d’aller jusqu’à soutenir l’action du grand dragon, qui conduit aujourd’hui la Russie à martyriser l’Ukraine, sous prétexte d’un nouvel ordre mondial, datant pourtant d’avant Adam et Ève.

Si chacune de ces Églises, est appelé par Dieu en Jésus-Christ à un enseignement de base quelque peu différent l’une de l’autre, ce n’est pas pour qu’elles se fasse la guerre entre elles, mais qu’elles mènent leur guerre contre ce grand dragon, quitte à devoir se supporter l’une l’autre spirituellement et physiquement, dans un même combat contre l’ennemi de nos âmes et non plus à l’image des faux amis de Job.

C’est alors qu’un plus grand nombre possible d’humains sur terre pourra se tourner vers Jésus, jusqu’à recevoir le baptême du Saint-Esprit. dans leur « cœur ». psy21fr Dans l’attente de l’accomplissement divin sur l’humain, certains seront alors employés dans l’église et au respect de la Parole de Dieu, sans oublier l’amour, alors que d’autres irons jusqu’à recevoir cette nature divine dans leur cerveau, leur apportant l’Amour et le respect progressif de la parole de Dieu, à mesure que cette forme de psychothérapie avancera en eux. Cela permettra d’être au plus proche possible de ce que sera l’humanité de demain et d’éviter les trop grands conflits de génération, que ce soit dans le couple individuel entre l’homme et la femme, ou entre l’église et la société, mais aussi entre les nations démocratiques et Israël.

Chercher par contre à réimposer un système consensuel sur les démocraties, comme cela était le cas jusqu’en 1968, correspondrait à un retour à l’est du Jourdain,  comme Caleb et Josué furent éprouvés dans leur foi à ne pas faire demi-tour, lors de la prise de Canaan.

Aucune des sept Églises ne doit en effet oublier, qu’après les jours de l’accomplissement de la totale nature divine dans l’humain, tous naitront du Saint-Esprit dès leur procréation et devront donc agir par Amour, sans plus dominer leur système émotionnel par la maîtrise de soi, pas plus que dominer l’humain au nom de Dieu. Ce qui porte aujourd’hui un fruit imparfait, sous la spiritualité de l’Église de Laodicée ou de Sarde, portera un fruit selon Dieu demain, car l’intégrité collective, née du Saint-Esprit, permettra alors le parfait équilibre des acquis sociaux, pour que personne n’en abuse inconsidérément, mais que tous puissent en bénéficier en cas de situation difficile.

Ce n’est donc pas donner raison à l’erreur, que de refuser de condamner et de combattre ce qui est traditionnellement appelé le « monde », au sein de l’église, dans nos démocraties, puisque ce monde fait lui-même parti de ce que Jésus appela l’Église dans l’Apocalypse, au travers de la bouche de l’Apôtre Jean. C’est au contraire placer sa confiance en Dieu, et non dans sa propre connaissance de Dieu, jusqu’à reconnaitre l’indispensable complémentarité de nos systèmes démocratiques, tout autant qu’entre l’homme et la femme, pour accéder à la nature divine, malgré le mauvais emploi inévitable qui en ressort aujourd’hui, du fait que l’Amour divin n’existe pas déjà à la naissance de l’humain sur terre.

C’est dans la méconnaissance de la globalité de la volonté divine envers l’ensemble de l’humanité, que nous devenons sinon rebelles à Dieu, dans nos présomptions zélées d’être les seuls à travailler « pour » Dieu, et non « avec » Dieu, comme nous l’avons déjà vu dans le premier chapitre.

Jésus ne peut pas demander à la même personne ou à la même nation, l’accomplissement de la nature divine dans l’humain, qui nécessite collectivement l’Église de Laodicée comme contexte civilisationnel, et lui demander en même temps la préparation au règne de Jésus sur terre, dont la nécessité collective est l’Église de Thyatire. Ce qui semble porter un mauvais témoignage de Dieu aujourd’hui, doit donc être regardé par la foi, avec les yeux de demain, au jour où la véritable intégrité en Christ pourra régner sur l’humain. Tout ce qui parait bancale aujourd’hui n’a pas à être rasé, au risque de revenir aux temps d’Adam et Ève, mais d’être émondé selon Dieu, pour porter de bons fruits.

C’est pourquoi chacun doit aujourd’hui vouloir agir avec l’aide de Dieu en Jésus-Christ, qui donne le discernement envers toute forme de suprématie, même chrétienne. Ce n’est pas par une hégémonie des démocraties chrétiennes sur le monde, au détriment de l’Amour d’autrui, que Jésus veut établir son royaume sur terre et dans les cieux.

Dans sa guerre contre sa descendance, la violence du grand dragon n’est pas nécessairement la seule à lutter contre l’œuvre de Dieu en Jésus-Christ. C’est pourquoi nous devons rester confiants en Christ, à mener le bon combat de la foi, car l’Éternel Dieu ne laissera pas faire éternellement celui qui veut remplacer une domination par une autre.

Si la domination satanique du grand dragon est faite, comme au nom de Christ, alors qu’elle vénère Staline, ce n’est pas parce qu’une autre viendrait comme au nom de Christ, au travers de l’abondance de ses paroles, que cela lui donnerait le droit d’en vénérer la puissance religieuse, que lui confère sa richesse financière. Si cette démocratie le fait comme au nom de Dieu en Jésus-Christ, cela devient même pire, puisqu’elle emploie le nom de Dieu en vain, pour justifier ses convoitises de puissance pour dominer le monde, sans se soucier que le jugement de Dieu commence dans sa propre maison.

L’humilité de l’œuvre de Jésus à la Croix doit nous servir d’exemple, car il n’en va pas différemment aujourd’hui, vu que l’accomplissement de la couronne de l’esprit dans le cerveau de l’humain, sera effectué par l’Église de Philadelphie alors qu’il nous est dit de cette Église, qu’elle aura peu de puissance.

De même que l’Éternel Dieu permit que le temple de pierre soit reconstruit sur Jérusalem, au travers de Cyrus, roi de Perse, il peut laisser faire la même chose par l’Église de Sarde, qui se croit vivante alors qu’elle est morte à la Vérité en Christ. Elle use d’apparences pour donner raison au grand dragon, mais reste un temple de pierre envers le respect de chacun sur terre, là où le Temple du Saint-Esprit dans l’humain, est l’accomplissement spirituel indispensable, que Dieu veut apporter en Jésus-Christ.

Ce ne sont pas les religions, dont la vocation est de combattre l’ennemi de nos âmes, qui font peur à Satan, mais la nature divine apportée par Jésus sur l’humain, qui l’éliminera pour l’éternité. C’est en cela que le supplément de communion avec Dieu, que peut apporter le Saint-Esprit, lorsqu’il est bien utilisé, est odieuse à l’ange déchu, et qu’il pousse dans le dos de la personne qui travaille pour Dieu, à étendre une suprématie religieuse sur le monde, pour s’approprier les bienfaits de Dieu au détriment des autres. Toute suprématie tentant d’imposer la violence du grand dragon, ou celle d’une paix consensuelle au nom de Dieu sur le monde, par séduction des démocraties à dominer le monde, génèrerait comme un retour à l’est du Jourdain. L’ennemi de nos âmes, se ferait alors une joie de mal utiliser la « bête », qu’est l’IA, pour interdire l’accès de l’humain à la nature divine, comme Jésus nous prévint, plutôt que l’humanité puisse s’en servir à bon escient, pour apporter des bienfaits à chacun, si telle est la volonté de Dieu.

C’est spirituellement, par l’intégrité individuelle, générée par la Paix de l’Amour en Jésus-Christ, que Dieu veut apporter cette véritable Paix sur le monde, et non par l’homme dont la convoitise personnelle est de régner sur le monde, quel que soit l’artifice qu’il utilise pour y parvenir. Si celui-ci s‘octroie généralement une intelligence supérieure, c’est parce qu’il n’a pas accès à la nature divine, et que dans la fierté de ses prétentions, il ne peut pas prendre conscience de la duperie de Satan dont il fait l’objet. Toutes les formes de résistance à ses présomptions, le conduisent à se considérer victime de la théorie du complot, et lui ouvre la porte au négationnisme, des évidences physiques, historiques, climatiques ou toute autre.

Cela ne veut pas dire que Dieu n’utilisera pas les présomptions de certains, de pouvoir utiliser le mensonge selon le mode réservé à Satan, et qu’ils seront définitivement perdus devant Dieu. De même que nous pouvons voir dans l’Église de Sarde, que certains auront garder leurs vêtements blancs, malgré l’erreur de tous les autres, tous n’auront pas nécessairement donné raison à la doctrine du grand dragon, dans l’Église de Pergame, malgré qu’ils aient habité là où est le trône de Satan, et donc du grand dragon.

Il en fut ainsi de ceux ayant donné raison à Hitler, parmi les pétainistes, durant la seconde guerre mondiale, car tous ne s’enfoncèrent pas jusqu’au dernier jour dans l’abomination nazi. Ceux qui restèrent sincères devant Dieu, se repentirent du piège dans lequel ils étaient tombés, et la chose restera bien évidemment semblable demain, en ce qui concerne l’Église de Pergame, de Sarde ou celle de Laodicée, ainsi que toutes les autres, chacune dans leurs erreurs.

L’accomplissement de la nature divine sur l’humain, sera le moteur propulsant sur terre l’ange déchu, afin qu’il soit lié pour mille ans, mais personne ne doit faire abstraction des fruits de l’esprit cités dans Galates 5-22/23, s’il veut vivre l’éternité en Jésus-Christ, à commencer par le millénium de demain sur cette terre. Cela importera peu, que ses fruits de l’esprit aient été produits à partir d’une bonne correction du système émotionnel ancien par la maîtrise de soi, ou par un système émotionnel avançant vers la nature divine, car chacun recevra de Dieu selon ses mérites. Depuis Adam et Ève, Dieu n’a pas entrepris d’apporter sa nature divine à l’humanité en sept jours, pour que celle-ci retombe dans les mêmes travers que précédemment, alors qu’aujourd’hui les rivalités et les conflits entre individus et entre nations, peuvent conduire à faire sauter la planète, par des milliers de bombes atomiques, ou à la faire griller le plus rapidement possible, par la continuité de l’emploi de toutes les énergies fossiles.

C’est parce que Jésus avait dit en Jean 2-19 « Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai », que ses mots apportèrent à ses disciples la conviction de sa nature divine, lorsqu’il ressuscita d’entre les morts, à l’aube du troisième jour. Si deux jours divins se sont écoulés depuis la Crucifixion, sachant que le Troisième jour de Christ, sera le septième pour Dieu, le jour de son repos, ce n’est certainement pas à nous d’attendre qu’il soit trop tard pour travailler à la reconstruction du Temple du Saint-Esprit dans l’humain. Si nos combats furent utiles à mettre en évidence nos faiblesses charnelles, c’est par notre volonté à les faire mourir dans notre cerveau, pour les faire renaitre en Christ que nous deviendrons tous fils de Dieu, sans avoir à dominer sur quiconque.

C’est aussi pourquoi, celui qui règnera avec une verge de fer, le fera à la façon de l’Église de Philadelphie et non par la domination du grand dragon. Ce sera alors dans la dimension de l’Église de Thyatire, mais sur les valeurs de l’Église de Philadelphie, car chacun aura accepter une part des vérités de l’autre, afin que personne ne soit mis de côté.

Christ règnera alors sur terre et dans les cieux, et c’est pourquoi nous devons placer notre confiance en Christ, en tant que Seigneur et Sauveur, à la fois personnel et sur l’humanité. Si Jésus n’avait été appelé à sauver qu’une seule personne des griffes de Satan, c’est-à-dire moi, c’est-à-dire vous, il aurait accepté la mort à la Croix pour cette seule personne, et c’est en cela qu’il doit être reconnu comme Seigneur et Sauveur personnel et sur l’humanité.

Le meilleur est devant nous, quelles que soient les montagnes à franchir pour parvenir à demain, et c’est pourquoi, si la vieille Europe sait retrouver son premier amour, en se réveillant des torpeurs de l’Église d’Éphèse, elle n’aura plus à pâlir devant les quolibets de ceux qui se croient vivant en Christ, alors qu’ils sont morts, car les moqueurs n’hériteront pas du royaume des cieux. Étant donné que cette vieille Europe garde en son sein un grand nombre de ceux de l’Église de Smyrne, qui recevront leur couronne dans les cieux, malgré leurs tribulations sur terre, beaucoup d’entre eux auront franchi la porte ouverte de l’Église de Philadelphie et auront reçu cette couronne déjà sur cette terre.

À Dieu seul soit toute la Gloire de l’évolution qu’il veut apporter à chacun et à toute l’humanité en Jésus-Christ, aux siècles des siècles : Amen !