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CHAPITRE 3
Mieux se connaitre pour mieux se comprendre
1 – L’initialisation de notre spiritualité charnelle
Si nous voulons orienter notre « spiritualité » de façon équilibrée, sans nous cantonner à des interprétations sectaires de la parole de Dieu, il est indispensable de regarder comment cette dite spiritualité se crée dans notre cerveau à notre insu. C’est en effet à une période de notre vie dont nous négligeons volontiers l’impact sur nos comportements adultes, que nous entrons inconsciemment dans cette « spiritualité », qui impacte très sensiblement notre quotient émotionnel, vers une autoprotection qui peu devenir excessive.
C’est pourquoi, même si nous allons avoir l’impression de nous répéter quelque peu, nous devons prendre conscience de l’importance de notre vie intra-utérine, car c’est à cette période que s’inscrivent dans notre cerveau, les bases les plus profondes de la logique spirituelle placée sous la tutelle de Satan.
La première période de cette vie n’est alors qu’embryonnaire, mais elle est la plus fertile dans l’évolution du corps humain, puisque 90% de ses 4500 structures adultes répertoriées, sont déjà en place à la fin de la huitième semaine de grossesse. Sur le plan cérébral cette première période représente principalement la survie végétative du corps et nous devons donc lui accorder une importance relative, en rapport au caractère émotionnel qui nous intéresse. Si nous la détaillons cependant, c’est pour mettre en évidence la période à laquelle se créent les supports neuronaux pouvant recevoir une logique créatrice de tout notre système émotionnel « cœur / cerveau » en rapport à nos « expériences » vécues.
A notre connaissance, il n’est pas aujourd’hui définissable si cette logique fait partie intégrante de notre génétique, ou si elle nous est inculquée divinement, comme nous pouvons en considérer l’effet lors de son renouvellement, par le baptême du Saint-Esprit. Une chose est certaine, c’est que dès l’état embryonnaire, les structures neuronales existent pour pouvoir recevoir cette logique, et même si cette période correspond à la mise en place du cerveau primaire, le cœur du fœtus étant déjà fonctionnel, sa gestion doit être assurée.
Si rien n’empêche alors la mise en place de la logique génératrice des données qui sont stockées dans notre cerveau, ce n’est cependant qu’à l’état fœtal et non plus embryonnaire, que se structure les parts du cerveau liées à « l’esprit », qui est le point de départ de notre système émotionnel personnalisé. C’est vers le cinq à sixième mois de grossesse, que nos neurones sont d’ailleurs les plus nombreux de toute notre vie, afin de pouvoir répondre à tout enregistrement de nos premières émotions, mais surtout à la nécessité de leur programmation par la mort neuronale, comme nous l’avons vu dans le précédent chapitre.
Cette mort neuronale touche en fait les neurones les moins employés, ce qui a pour effet de globalise nos réactions sur certaines émotions plus que d’autres, laissant chez chacun l’orientation vers un caractère dominant, relatif au vécu du fœtus dans le sein de sa mère.
Il nous faut donc remonter au début de notre vie intra-utérine, si nous voulons mettre en évidence la période vers laquelle les toutes premières cellules de notre structure cérébrale se mettent en place, pour recevoir tout ce système de gestion de l’humain.
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2 – Les miracles de la vie
A chaque période d’ovulation de la femme, un ovule est évacué de l’un de ses ovaires et se trouve recueilli dans la trompe de Fallope correspondante, où il peut être fécondé par un spermatozoïde durant vingt-quatre heures environ, en cas de rapport sexuel.
Dans les premières heures après la fécondation d’un ovule, nous pouvons alors constater ci contre, la présence des deux noyaux encore visibles du spermatozoïde masculin, et celui de l’ovule féminin initial. A ce stade l’ovule est appelé ovocyte 2, du fait que ces deux noyaux ne sont pas fusionné dans une seule écriture génétique. Chacun de ces noyaux possède alors 23 chromosomes correspondant à ses origines.
La fusion des écritures génétiques génère la première cellule, appelée zygote, qui contient alors la totalité du futur être humain de nature XX ou XY, en fonction de la sexualité présente dans le noyau du spermatozoïde.
Si nous étions capables d’en lire la définition exacte, les choses invariables, telles sa sexualité, ses empruntes digitales et toute autre spécificité intrinsèque à chacun, pourrait être mise en évidence. Toutes ces données sont effectivement déjà incluses dans cette cellule, moins de trente heures après la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde, période aux environs de laquelle cette cellule, d’environ un dixième de millimètre de diamètre, commence une segmentation.
C’est en effet par des divisions successives, que dans un premier temps, cette cellule, munie des 46 chromosomes humains, va se multiplier en nombre, mais pas en volume. Elle va ainsi mettre à profit les cinq jours et demi à six jours, nécessaires à son transfert entre l’ovaire et l’utérus de la maman, pour générer des cellules protectrices compatibles avec le système immunitaire maternel, différent du sien à cause des 23 chromosomes paternels. L’ensemble cellulaire généré par la seule cellule zygote, est appelé successivement morula, puis blastula, dans laquelle seules quelques cellules sont en rapport avec le futur individu, alors que toutes les autres forment les bases du futur placenta protecteur et nourricier de l’embryon, puis du fœtus.
Lorsque cette blastula atteint le nombre d’une centaine de cellules, il se produit un éclatement de la zone protectrice de l’ovule initial, appelé éclosion blastocytaire et permet que seules les cellules protectrices entrent en contact direct avec les muqueuses utérines maternelles. Ces cellules, bien que de nature tumorales, vont d’autant plus facilement pouvoir se fondre dans les muqueuses utérines, que celles-ci subissent alors une modification appelée fenêtre d’implantation, générée par une monté hormonale de la maman.
L’implantation totale se termine vers le dixième et le douzième jour après la fécondation, au moment où les réserves de nourriture contenues dans l’ovule initial s’épuisent. L’embryon commence alors à être alimenté par la mère, ce qui permet l’inversion du processus de reproduction cellulaire, qui bascule de la division à la multiplication. Cette multiplication génère alors la gastrulation, puis la neurulation, desquelles l’axe de symétrie du futur individu ressort visiblement très rapidement.
Huit à dix jours plus tard, soit entre le dix-neuvième et le vingt-quatrième jour après la fécondation de l’ovule, nous pouvons déjà percevoir sur les représentations de la seule partie embryonnaire ci-dessous (hors placenta), les premiers organes de nature neuronale, porteurs de notre logique originelle de « l’esprit ».
Sur l’image de gauche, nous voyons déjà fort bien se développer, dans la partie haute de la plaque neurale, ce qui deviendra le cerveau primaire dans un premier temps. En partie basse de cette même plaque neurale, nous voyons distinctement celle-ci se répandre entre les futures vertèbres, pour former ce qui deviendra la moelle épinière, mais aussi le Petit Cerveau du Cœur, comme nous l’avons évoqué dans le chapitre précédent. Il ne faut alors pas attendre plus de deux ou trois jours après cette période, pour voir apparaitre un renflement cardiaque, significatif de la fonctionnalité du cœur de l’embryon, sur l’image de droite.
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Partie Embryonnaire hors système placentaire, vue selon A, avant invagination entre le 19 et le 24ème Jour
Partie Embryonnaire hors système placentaire, après invagination, vers le 26ème Jour
Emplacement approximatif du Petit Cerveau du Cœur
Notochorde
Ou Tube notochordal
Somites
(Futures vertèbres)
Nœud de Hensen gérant la gastrulation
Somites
(Futures vertèbres)
Cela signifie donc que la structure neuronale du Petit Cerveau du Cœur, est déjà en place pour assurer la survie végétative, mais il nous est impossible d’affirmer que c’est déjà la logique spirituelle de base charnelle, génératrice de tout notre système émotionnel individuel, qui gère les fonctionnalités de cette survie. Le support neuronal est une chose, mais la logique charnelle en est une autre et c’est pourquoi nous devons rester vigilants à ne pas trop anticiper la prise en compte du caractère émotionnel ressortant de cette logique à cette période.
La mise en place de ce système émotionnel est par contre tout ce qu’il y a de plus évident durant la période fœtale, qui ne commence qu’au 56ème jour de grossesse. C’est alors le cerveau limbique (le second étage de notre cerveau) qui va pouvoir être impacté, afin d’enregistrer toutes les réactions nécessaires à notre survie après la naissance.
Il est important de noter que c’est à cette période, que la vraie différence spirituelle se fit entre nous et Jésus, car au lieu d’être impacté par la logique charnelle, Il fut revêtu directement de la logique divine du Saint-Esprit, dès le sein de Marie, ce qui produisit tout stéréotype de réaction de la nature divine dans son cerveau.
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3 – Le Petit Cerveau du Cœur est à l’origine des spécificités émotionnelles homme / femme
Aperçu de notre système cérébral et du Petit Cerveau du Cœur (hors neurones intestinaux)
Second cerveau, dit limbique
Premier cerveau, dit reptilien
Petit Cerveau du Cœur, support de la logique spirituelle charnelle ou divine. Après le baptême du Saint-Esprit, c’est lui qui devient le Temple du Saint-Esprit.
Néocortex, troisième cerveau
Sur le plan structurel, le Petit Cerveau du Cœur est constitué de 40 000 neurones et comme nous pouvons le voir ci-dessus, il épouse la forme de la cage thoracique, un peu comme le ferait une antenne parabolique. Comme nous l’avons déjà dit, il a déjà été défini en 1996 comme étant un organe à part entière, étant donné que nous avons une possibilité d’impact sur celui-ci, pour en faire taire les émotions.
Si nous acceptons de nous répéter quelque peu, afin d’en observer l’importance fondamentale, ce n’est pas un hasard si la logique spirituelle de base, située dans les neurones du Petit Cerveau du Cœur est appelée « esprit » tout comme le centre émotionnel qu’elle génère dans notre cerveau avant la naissance, puisque ce dernier est le résultat direct de l’autre. Il est cependant fondamental d’en faire la différence sur le plan fonctionnel et spirituel, car bien qu’ils soient originellement de même nature, ils n’ont ni la même attribution, ni les mêmes fonctionnalités. L’esprit dans le cerveau, correspond à une simple banque de données stéréotypées et sert de sécurité à la supervision de la tutelle de Satan, alors que dans le Petit Cerveau du Cœur, l’esprit correspond à une véritable logique active, que nous conservons toute notre vie, si elle n’est pas remplacée par le Saint-Esprit. L’esprit, dans le Petit Cerveau du cœur a donc une fonction génératrice d’émotions, différente selon la nature charnelle ou divine dont il est revêtu, alors que dans le cerveau, l’esprit est là pour produire un influx nerveux indispensable à toute forme d’action, même la parole, quelque soit la logique qui produise l’émotion donnée.
La capacité que nous avons cependant à tenir compte ou non de l’impact émotionnel sortant du Petit Cerveau du Cœur, par l’apprentissage à bien gérer notre respiration, est également fondamental. Selon la logique charnelle ou divine dont il est revêtu, il faut savoir faire taire sa logique initiale pour produire un équilibre selon Dieu, alors qu’il faut savoir être à l’écoute du Saint-Esprit pour faire le bon choix de sentiment et aller jusqu’à la réécriture de celui-ci dans la nature divine. Cette capacité d’action est d’autant plus importante en situation fortement conflictuelle, que c’est de notre Petit Cerveau du Cœur, auquel s’additionne l’analyse de nos cinq sens (thalamus sensoriel), qui produit le déclanchement du circuit long de notre cerveau, en circuit court, dépourvu alors de nos analyses. Ces circuit cérébraux dont nous avons déjà parlé, sont ceux dont l’un permet une action calculée et plus ou moins modérée, alors que l’autre produit des actions réflexes, très peut modérables. C’est donc parce que nous possédons la capacité de modifier l’impact émotionnel, de la logique contenue dans notre Petit Cerveau du Cœur, qu’il est bibliquement demandé à l’humain de garder la maîtrise de soi.
L’effet produit dans le cerveau est alors de conserver un circuit long contenant nos analyses, afin de procéder à une action mieux adaptée aux circonstances, depuis l’amygdale cérébrale. C’est là le premier point que nous mentionnions, par rapport à la bonne utilisation du Saint-Esprit, à savoir faire le bon choix de sentiments, même lorsque ceux-ci sont encore de nature charnelle, car non réécrits par Christ. Le second point, peut-être encore plus important, est que la présence du facteur émotionnel, produit par le Petit Cerveau du Cœur, est tout aussi présent dans l’un ou l’autre de ces circuits. Ceci fait, que même dans nos réactions les plus spontanées, nous avons toujours possibilité de tenir compte de l’impact de l’esprit, que celui-ci soit de nature divine ou simplement placé sous la tutelle de Satan.
Que ce soit donc par l’emploi d’une logique charnelle, ou divine du Saint-Esprit, communiquées divinement l’une et l’autre, ou déjà inclues dans notre génétique, cela ne retire en rien la responsabilité de nos actes, puisque nous disposons d’un libre arbitre à faire taire ou rester à l’écoute de leurs informations émotionnelles, provenant de notre Petit Cerveau du Cœur.
Ceci soulève d’ailleurs une autre particularité, car c’est de notre Petit Cerveau du Cœur, qu’émane le champ magnétique humain, dont l’amplitude est 60 fois supérieure et 5000 fois plus puissante qu’au niveau de notre cerveau crânien. Si nous considérions donc uniquement l’activité neuronale, comme source de ce phénomène et non le fait d’un organe prévu initialement pour une certaine « information », cela serait peu vraisemblable. Ce serait d’autant moins banal, que non loin de celui-ci et dans une quantité beaucoup plus importante, figure également au niveau des intestins, une importante concentration de neurones, eux-mêmes non protégés par la boite crânienne. Ce phénomène mesurable tend donc bien à prouver le caractère sensoriel mal connu de ce Petit Cerveau du Cœur.
Champ magnétique humain centré sur le Petit Cerveau du Cœur
Lorsqu’il y a quelques lignes, nous parlions donc de sa forme ressemblant à une antenne parabolique, pour souligner sa disposition physique dans notre cage thoracique, en ce qui concerne son utilité, il s’agirait plus d’une forme perception extrasensorielle et non d’une réelle « antenne ».
Cette perception n’est d’ailleurs pas complètement extrasensorielle, puisqu’au-delà de certaines émotions provenant de nos cinq sens, d’autres nous sont presque imperceptibles, mais toutefois décelables, au point de pouvoir les faire taire ou de leur donner raison, comme nous venons de le souligner. C’est ainsi que dans certaines circonstances particulières nous pouvons être appelés à discerner un désaccord non dit, comme une aversion ressentie sans raison particulière, même parfois dans le couple. Ce ne sont généralement que ce que nous appelons des impressions de « malaise », qui proviennent en fait d’un légère gêne émotionnelle, une certaine forme d’oppression à l’approche d’une personne. Cette oppression se concrétise d’ailleurs parfois au travers des paroles ou de désirs d’éloignement. De même que notre regard peut voir un paysage sans en isoler certains détails, notre système émotionnel peut donc percevoir l’ensemble d’un contexte, sans en déterminer tous les détails, alors que dans d’autres circonstances ils sont mis en évidence.
C’est ainsi que nous retrouvons émotionnellement ce qui est appelé psychologiquement la bulle de protection, qui correspond en fait à la distance d’approche à laquelle une personne peut se laisser approcher par certains. Cette « bulle de protection » tiens généralement compte de nos cinq sens, au moins en ce qui concerne la vue et l’ouïe en général. C’est pourquoi ce petit malaise est alors englobé dans un ensemble de perception sensorielles et qu’il est de ce fait plus difficile à isoler.
C’est cependant de cet organe, que nous tirons un « trouble » plus ou moins agréable ou désagréable, que nous pouvons ressentir en présence rapprochée de certaines personnes plus que d’autres, selon l’humeur et l’état d’esprit de chacun sur l’instant. Là encore cette perception est soumise à notre appréciation et n’est décelable que si nous lui accordons une véritable attention. C’est la raison pour laquelle, lorsque notre QE le fait taire, nous perdons tout discernement provenant de cet organe, puisque nous préférons ne donner raison qu’à nos propres analyses sensorielles de la situation.
Cet organe est pourtant des plus important pour le fœtus, qui peut entendre mais ne peut voir et se doit donc d’accorder toute sa valeur informative à cet organe, pour pouvoir analyser le contexte dans lequel toute situation émotionnelle ressentie par lui, doit être interprétée pour pouvoir en devenir vainqueur après la naissance.
Toute information liée au contexte, en rapport à une émotion ressentie devient alors d’autant plus vraie pour le fœtus féminin, que la femme est dotée d’une capacité physique inférieure à celle de l’homme, bien qu’elle ait besoin de celui-ci pour procréer et de son soutien en cas de grossesse. Un meilleur discernement de ses émotions provenant du Petit Cerveau du Cœur, lui devient donc plus nécessaire qu’à l’homme. C’est sans doute la raison pour laquelle Dieu l’a pourvue de deux chromosomes X dont la provenance n’est certes pas la même, entre celle du père ou de la mère, mais apporte toutefois à la logique qui va étayer son système émotionnel, des valeurs sensiblement identiques, après impact de l’émotion sur sa génétique.
Lorsque cette logique spirituelle, de base charnelle, génère ainsi les émotions qui vont s’inscrire dans le cerveau du fœtus, leur résonnance sur la conscience placée dans la génétique de celui-ci, produit un stéréotype d’action de cette logique, selon deux familles de résultats dépendants des chromosomes de nature X ou Y du fœtus. Le reflet de deux systèmes identiques XX produit un plus grand centre d’intérêt et une plus grande constante émotionnelle envers la conscience, alors que le même reflet sur deux systèmes différents, produit une meilleure adaptabilité au cadre de vie, mais une diminution de la valeur informative, liée au respect de la génétique dans le fœtus masculin.
Cette analyse comparative des émotions faites par l’impact sur notre conscience dans notre génétique, conduit donc l’homme et la femme dans des stéréotypes d’attitudes, ainsi que des orientations différentes vers leurs diverses attributions journalières. C’est d’ailleurs ce dont nous sommes témoins au sein de toute population, même animale. Le résultat n’empêche donc pas l’un et l’autre d’assumer certaines fonctions plus généralement remplies par l’autre sexe, mais les classifient facilement dans des fonctions plus marquées chez l’un que chez l’autre.
A notre connaissance, cette synthèse ne ressort pas de données scientifiquement confirmées, mais elle fait cependant ressortir la complémentarité hommes / femmes, utilisée par Dieu pour conserver une certaine homogénéité à tout système évolutif, comme le devient le couple humain dans son contexte de vie.
C’est donc à partir de cette synthèse, d’une meilleure constance féminine envers la conscience humaine, complémentaire à l’adaptabilité masculine, que nous examinerons pour mettre en évidence le moyen mis en place par Dieu, pour permettre au couple la sortie de la tutelle de Satan.
Ce que nous devons retenir sur la bonne utilisation des émotions provenant de notre Petit Cerveau du Cœur est le fait que nous ayons toujours la capacité de lui donner raison ou non. Selon la nature charnelle dont il est initialement revêtu, ou la nature divine après le baptême du Saint-Esprit, la perception que nous lui accordons est donc fondamentale pour entrer pleinement dans le respect de la parole de Dieu.
Dieu ne peut pas être à la fois notre Créateur et nous conduire vers des règles contraires à la génétique qu’Il a placée en nous. C’est pourquoi nous allons maintenant changer notre regard de sens et ce que nous avons vu d’un côté globalement scientifique, nous allons l’examiné depuis sa parole de Dieu.
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